Une cure analytique passe par la parole.
Vous êtes entendue.
Est-ce que le divan ne pourrait pas être vu comme un objet de convoitise ?
Il faut du temps pour que la parole se délie, c’est long. Lire la suite
Une cure analytique passe par la parole.
Vous êtes entendue.
Est-ce que le divan ne pourrait pas être vu comme un objet de convoitise ?
Il faut du temps pour que la parole se délie, c’est long. Lire la suite
Francis Bismuth, psychologue et psychanalyste responsable d’un forum de psychologie (voir dans les liens) sur lequel je viens parfois échanger, mais dont plus souvent je suis les échanges sans forcément y participer, a contribué à un article de psychologie magazines que vous pouvez lire sur son forum en cliquant ici : clic
Le titre en est : Consulter un psy : 8 raisons qui font hésiter et cela m’amène à m’interroger sur l’inconscience qui m’a les raisons qui m’ont amenée à me lancer dans cette aventure si particulière qu’est une psychanalyse.
Semaine de reprise de mon analyse, après une coupure à tourner en rond, laisser infuser, approfondir ou souffrir puisque l’adjectif qui m’est venu pour qualifier l’interruption de la cure est le mot pénible.
Pourtant, passée la séance de retour où j’avais beaucoup de choses à dire (raconter est peut-être plus juste d’ailleurs) sont revenues les difficultés pour parler, avec cette impression de plus en plus présente de devoir gratter. Creuser peut-être si ça revient à rester sur les mots de Cioran. La semaine aurait donc pu être laborieuse si la vie ne m’avait pas rattrapée.